Ah ma mer,
- Virginie Cehabiague Hypnothérapeute -
- 28 mars 2019
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Ah ma mer,

Je reconnais en toi la beauté de ton reflet,
Ame amère, à qui croît en dehors de ta portée,
Ah ma mer, quel océan de larmes à qui s’en est séparée,
A tes flots sombres, il est bon de se dé-chaîner,
A tes eaux claires, il est bon de se laisser baigner,
Amas ère, au fond de moi, quand je n’y vois qu’un mal de mer, avec de la nausée,
Amas sors, en fin de mois, avec les eaux des lunes, et des femmes libérées,
Amma donne, enfin l’émoi, de laver la rancœur, et d’apaiser la valse des marées,
Ah ma mer, pleine de dangers, de requins et autres croyances de l’enfance tronquée,
De cette enfance d’où l’on ne sait pas encore nager,
On se programme pour écumer un amour conditionné,
Alors on naît, à moitié, si seule la connaissance de l’eau moutonnée nous est donnée,
A toutes ces mers pacifiques qui méditent « terre » années, après années,
A toutes ces représentantes qui nourrissent l’intérieur, la femme, la terre, la mer, la moitié,
Merci de continuer, en honorant avec autant d’envie, notre autre côté,
Celui qui nous donne accès à notre unité incarnée,
Merci à notre vraie nature d’initier ce oui, ces retrouvailles, pour améliorer ce qui est semé.
A ma mère,
Merci pour cette main donnée,
Entre ce qui a été et ce qui sera créé,
Pour que les générations vivent, vers un mieux s’aimer.
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