Et si nous étions tous à l'image de cette France?

A commencer par notre cœur, à l'image de la région où l'on vit...

Que dirions-nous de l'état dans lequel il se trouve?

Puis de son atmosphère,

A l'image de la fumée que l'on aspire,

La notre ou celle des autres sphères?

La choisir c'est renoncer à l'assainir.

De son administration par le foi,

Qui pousse le pas en avant tout droit?

Trop fort vers la colère,

Pas assez vers la frustration amère.

Et de la fausse gouvernance de ce cerveau toujours plein d'idées,

Toujours plus rempli de croyances et d'images imposées?

A trop voir, l'on devient aveugle,

A trop entendre, l'on dédevient sourd,

A trop parler, l'on devient muet,

Ainsi saturé, l'on se rend prisonnier.

Alors quoi, nous allons laisser notre corps à l'agonie?

Ou allons nous chercher une solution pour la Vie?

A constater l'état de notre région,

c'est un bon début de raison!

Mais renoncer à l'usage de ce qui pollue l'estomac ou les poumons,

Là est la vraie transition.

L'organisation saine est celle qui relie tous les organes et les entrailles,

Avec foi, tout rééquilibrer, pour que tout aille!

De ces organes qui s'engraissent, de ces entrailles qui s'encrassent,

Couper l'asphyxie générale, en nourrissant harmonieusement l'ensemble et que tout passe.

Ainsi toutes les parties pourront se remettre en route, ensemble,

Car oui toutes les parties sont celles d'un même tout,

Pour un métabolisme en bonne santé !

Maintenant, respirer devient nécessaire,

Oui avec notre centre,

Celui qui aère,

Là dans le creux de notre ventre!

Respirer pour mieux sentir,

Ce cœur qui ne demande qu'à grandir,

Inhaler cet Esprit qui vit d'abord en nous,

Avant que le noir ou le blanc ne lui donne son enveloppe de camouflage, et c'est partout.

Mais ne pas s'y tromper,

S'en servir n'est offert que dans un temps trompeur,

Pour mieux goûter,

De ce qu'il y a à l'intérieur, et qui se voit à l'extérieur,

Pour toujours plus grandir, de l'union de ces teintes opposées.